Le sentiment de légitimité

Comment le définir?

Les relations avec sa famille, des collègues ou encore un nouveau partenaire peuvent parfois être difficiles à vivre. Qu’est-ce qui l’explique? Le sentiment de ne pas être à sa place. De nos jours, de nombreuses personnes sont en quête d’une place qui est leur, aussi bien dans les relations professionnelles que privées.

Comment trouver sa place en société ? La réponse à cette question passe par un préalable, celui de savoir ce que signifie trouver sa place en général et par-là-même se sentir légitime à cette place.
Nous sommes nombreux à nous être posés ces questions et à avoir peut-être ressenti un sentiment désagréable de perte de confiance, d’estime de soi négative, de frustration et parfois même de colère.

Petite tentative de définition du sentiment de légitimité: Afin de bien distinguer la confiance, l’imposture et la légitimité, nous pourrions poser qu’avoir le sentiment d’être légitime, ce serait se penser à la bonne place. Mais le sentiment de légitimité n’est pas toujours lié au manque de confiance en soi mais bien à sa difficulté à se positionner en se considérant le droit de le faire par rapport aux autres.

Le sentiment de légitimité serait donc ma propre appréciation de ma place et de mon droit à la prendre. Il est important pour développer ce sentiment de légitimité de repenser les places et positionnement que j’ai non seulement l’habitude de prendre mais aussi de donner à autrui. On se sent légitime quand notre perception de nous-même est juste, cohérente, bienveillante et indulgente.

La légitimité cherche constamment l’équilibre entre compétences, aptitudes et signes de reconnaissance en recherche d’adéquation à ses valeurs. Se sentir légitime, c’est se donner l’autorisation d’agir, c’est oser, c’est se revendiquer et revendiquer sa place dans le système social. Se sentir légitime, c’est oser penser en son nom, se reconnaitre le droit de dire, de faire, le droit d’être.
Grâce à un travail sur nous-même, à une meilleure compréhension de nous et surtout une meilleure appréhension de nous, nous allons pouvoir prendre conscience de la valeur que nous portons à notre environnement et à nous-même.
Ce sentiment de légitimité se construit au travers de la qualité de nos attachements, eux-mêmes en évolution. Ainsi, en nous comprenant mieux, nous pouvons activer des leviers spécifiques pour dépasser cette problématique.

Comment trouver sa place, sa légitimité?

Il y différents moments dans l’existence où cette question devient sensible, douloureuse ou objets de tensions.
Cette image d’une bonne place est forgée de l’extérieur par des représentations sociales ou familiales. Nous gardons en nous les premières places de notre existence parce qu’elles sont gravées en nous de manière corporelle, elles sont ancrées, inscrites en
nous. C’est aussi l’éveil de la conscience qui se fait dans cet espace d’affects, de joies et de plaisirs premiers.
La reconnaissance joue un rôle fondamental dans notre équilibre: c’est elle qui nous confirme notre valeur, l’appartenance et l’intégration au groupe social, qui solidifie l’estime de soi puis la confiance en soi. Le message que nous percevons lorsque nous recevons des signes de reconnaissance, c’est que nous existons, que nous sommes dignes d’intérêt, que nous faisons partie d’un groupe et que notre ego est suffisamment nourri. La place qu’on s’attribue à soi-même prend alors toute son importance. Trouver sa place, c’est aussi s’habituer physiquement, s’acclimater, ajuster son corps à d’autres lieux, d’autres manières d’être.
Se sentir à sa place, c’est sans doute s’engager dans une activité qui nous parait essentielle. C’est autour de celle-ci que les autres activités s’organisent. Il faut réussir à concilier cette place, qui est notre « vrai lieu » avec les autres places sociales et affectives que l’on occupe. C’est se donner la possibilité de créer un espace mental structurant et permanent.

Etre à sa place, c’est plus qu’une position sociale: c’est explorer notre singularité, notre insertion, notre authenticité. C’est rechercher ce moment où l’on se dit « je suis bien »; moment qui peut tenir à un lieu, une activité, une personne mais qui a tout à voir avec une manière d’être, un « sentiment de soi ».

Si tu veux approfondir le sujet, je te conseille vivement le livre de Claire Marin, philosophe et écrivaine « Etre à sa place », un régal !

Le sentiment de légitimité

Comment le définir?

Les relations avec sa famille, des collègues ou encore un nouveau partenaire peuvent parfois être difficiles à vivre. Qu’est-ce qui l’explique? Le sentiment de ne pas être à sa place. De nos jours, de nombreuses personnes sont en quête d’une place qui est leur, aussi bien dans les relations professionnelles que privées.

Comment trouver sa place en société ? La réponse à cette question passe par un préalable, celui de savoir ce que signifie trouver sa place en général et par-là-même se sentir légitime à cette place.
Nous sommes nombreux à nous être posés ces questions et à avoir peut-être ressenti un sentiment désagréable de perte de confiance, d’estime de soi négative, de frustration et parfois même de colère.

Petite tentative de définition du sentiment de légitimité: Afin de bien distinguer la confiance, l’imposture et la légitimité, nous pourrions poser qu’avoir le sentiment d’être légitime, ce serait se penser à la bonne place. Mais le sentiment de légitimité n’est pas toujours lié au manque de confiance en soi mais bien à sa difficulté à se positionner en se considérant le droit de le faire par rapport aux autres.

Le sentiment de légitimité serait donc ma propre appréciation de ma place et de mon droit à la prendre. Il est important pour développer ce sentiment de légitimité de repenser les places et positionnement que j’ai non seulement l’habitude de prendre mais aussi de donner à autrui. On se sent légitime quand notre perception de nous-même est juste, cohérente, bienveillante et indulgente.

La légitimité cherche constamment l’équilibre entre compétences, aptitudes et signes de reconnaissance en recherche d’adéquation à ses valeurs. Se sentir légitime, c’est se donner l’autorisation d’agir, c’est oser, c’est se revendiquer et revendiquer sa place dans le système social. Se sentir légitime, c’est oser penser en son nom, se reconnaitre le droit de dire, de faire, le droit d’être.
Grâce à un travail sur nous-même, à une meilleure compréhension de nous et surtout une meilleure appréhension de nous, nous allons pouvoir prendre conscience de la valeur que nous portons à notre environnement et à nous-même.
Ce sentiment de légitimité se construit au travers de la qualité de nos attachements, eux-mêmes en évolution. Ainsi, en nous comprenant mieux, nous pouvons activer des leviers spécifiques pour dépasser cette problématique.

Comment trouver sa place, sa légitimité?

Il y différents moments dans l’existence où cette question devient sensible, douloureuse ou objets de tensions.
Cette image d’une bonne place est forgée de l’extérieur par des représentations sociales ou familiales. Nous gardons en nous les premières places de notre existence parce qu’elles sont gravées en nous de manière corporelle, elles sont ancrées, inscrites en
nous. C’est aussi l’éveil de la conscience qui se fait dans cet espace d’affects, de joies et de plaisirs premiers.
La reconnaissance joue un rôle fondamental dans notre équilibre: c’est elle qui nous confirme notre valeur, l’appartenance et l’intégration au groupe social, qui solidifie l’estime de soi puis la confiance en soi. Le message que nous percevons lorsque nous recevons des signes de reconnaissance, c’est que nous existons, que nous sommes dignes d’intérêt, que nous faisons partie d’un groupe et que notre ego est suffisamment nourri. La place qu’on s’attribue à soi-même prend alors toute son importance. Trouver sa place, c’est aussi s’habituer physiquement, s’acclimater, ajuster son corps à d’autres lieux, d’autres manières d’être.
Se sentir à sa place, c’est sans doute s’engager dans une activité qui nous parait essentielle. C’est autour de celle-ci que les autres activités s’organisent. Il faut réussir à concilier cette place, qui est notre « vrai lieu » avec les autres places sociales et affectives que l’on occupe. C’est se donner la possibilité de créer un espace mental structurant et permanent.

Etre à sa place, c’est plus qu’une position sociale: c’est explorer notre singularité, notre insertion, notre authenticité. C’est rechercher ce moment où l’on se dit « je suis bien »; moment qui peut tenir à un lieu, une activité, une personne mais qui a tout à voir avec une manière d’être, un « sentiment de soi ».

Si tu veux approfondir le sujet, je te conseille vivement le livre de Claire Marin, philosophe et écrivaine « Etre à sa place », un régal !

Le sentiment de légitimité

Comment le définir?

Les relations avec sa famille, des collègues ou encore un nouveau partenaire peuvent parfois être difficiles à vivre. Qu’est-ce qui l’explique? Le sentiment de ne pas être à sa place. De nos jours, de nombreuses personnes sont en quête d’une place qui est leur, aussi bien dans les relations professionnelles que privées.

Comment trouver sa place en société ? La réponse à cette question passe par un préalable, celui de savoir ce que signifie trouver sa place en général et par-là-même se sentir légitime à cette place.
Nous sommes nombreux à nous être posés ces questions et à avoir peut-être ressenti un sentiment désagréable de perte de confiance, d’estime de soi négative, de frustration et parfois même de colère.

Petite tentative de définition du sentiment de légitimité: Afin de bien distinguer la confiance, l’imposture et la légitimité, nous pourrions poser qu’avoir le sentiment d’être légitime, ce serait se penser à la bonne place. Mais le sentiment de légitimité n’est pas toujours lié au manque de confiance en soi mais bien à sa difficulté à se positionner en se considérant le droit de le faire par rapport aux autres.

Le sentiment de légitimité serait donc ma propre appréciation de ma place et de mon droit à la prendre. Il est important pour développer ce sentiment de légitimité de repenser les places et positionnement que j’ai non seulement l’habitude de prendre mais aussi de donner à autrui. On se sent légitime quand notre perception de nous-même est juste, cohérente, bienveillante et indulgente.

La légitimité cherche constamment l’équilibre entre compétences, aptitudes et signes de reconnaissance en recherche d’adéquation à ses valeurs. Se sentir légitime, c’est se donner l’autorisation d’agir, c’est oser, c’est se revendiquer et revendiquer sa place dans le système social. Se sentir légitime, c’est oser penser en son nom, se reconnaitre le droit de dire, de faire, le droit d’être.
Grâce à un travail sur nous-même, à une meilleure compréhension de nous et surtout une meilleure appréhension de nous, nous allons pouvoir prendre conscience de la valeur que nous portons à notre environnement et à nous-même.
Ce sentiment de légitimité se construit au travers de la qualité de nos attachements, eux-mêmes en évolution. Ainsi, en nous comprenant mieux, nous pouvons activer des leviers spécifiques pour dépasser cette problématique.

Comment trouver sa place, sa légitimité?

Il y différents moments dans l’existence où cette question devient sensible, douloureuse ou objets de tensions.
Cette image d’une bonne place est forgée de l’extérieur par des représentations sociales ou familiales. Nous gardons en nous les premières places de notre existence parce qu’elles sont gravées en nous de manière corporelle, elles sont ancrées, inscrites en
nous. C’est aussi l’éveil de la conscience qui se fait dans cet espace d’affects, de joies et de plaisirs premiers.
La reconnaissance joue un rôle fondamental dans notre équilibre: c’est elle qui nous confirme notre valeur, l’appartenance et l’intégration au groupe social, qui solidifie l’estime de soi puis la confiance en soi. Le message que nous percevons lorsque nous recevons des signes de reconnaissance, c’est que nous existons, que nous sommes dignes d’intérêt, que nous faisons partie d’un groupe et que notre ego est suffisamment nourri. La place qu’on s’attribue à soi-même prend alors toute son importance. Trouver sa place, c’est aussi s’habituer physiquement, s’acclimater, ajuster son corps à d’autres lieux, d’autres manières d’être.
Se sentir à sa place, c’est sans doute s’engager dans une activité qui nous parait essentielle. C’est autour de celle-ci que les autres activités s’organisent. Il faut réussir à concilier cette place, qui est notre « vrai lieu » avec les autres places sociales et affectives que l’on occupe. C’est se donner la possibilité de créer un espace mental structurant et permanent.

Etre à sa place, c’est plus qu’une position sociale: c’est explorer notre singularité, notre insertion, notre authenticité. C’est rechercher ce moment où l’on se dit « je suis bien »; moment qui peut tenir à un lieu, une activité, une personne mais qui a tout à voir avec une manière d’être, un « sentiment de soi ».

Si tu veux approfondir le sujet, je te conseille vivement le livre de Claire Marin, philosophe et écrivaine « Etre à sa place », un régal !

Le sentiment de légitimité

Comment le définir?

Les relations avec sa famille, des collègues ou encore un nouveau partenaire peuvent parfois être difficiles à vivre. Qu’est-ce qui l’explique? Le sentiment de ne pas être à sa place. De nos jours, de nombreuses personnes sont en quête d’une place qui est leur, aussi bien dans les relations professionnelles que privées.

Comment trouver sa place en société ? La réponse à cette question passe par un préalable, celui de savoir ce que signifie trouver sa place en général et par-là-même se sentir légitime à cette place.
Nous sommes nombreux à nous être posés ces questions et à avoir peut-être ressenti un sentiment désagréable de perte de confiance, d’estime de soi négative, de frustration et parfois même de colère.

Petite tentative de définition du sentiment de légitimité: Afin de bien distinguer la confiance, l’imposture et la légitimité, nous pourrions poser qu’avoir le sentiment d’être légitime, ce serait se penser à la bonne place. Mais le sentiment de légitimité n’est pas toujours lié au manque de confiance en soi mais bien à sa difficulté à se positionner en se considérant le droit de le faire par rapport aux autres.

Le sentiment de légitimité serait donc ma propre appréciation de ma place et de mon droit à la prendre. Il est important pour développer ce sentiment de légitimité de repenser les places et positionnement que j’ai non seulement l’habitude de prendre mais aussi de donner à autrui. On se sent légitime quand notre perception de nous-même est juste, cohérente, bienveillante et indulgente.

La légitimité cherche constamment l’équilibre entre compétences, aptitudes et signes de reconnaissance en recherche d’adéquation à ses valeurs. Se sentir légitime, c’est se donner l’autorisation d’agir, c’est oser, c’est se revendiquer et revendiquer sa place dans le système social. Se sentir légitime, c’est oser penser en son nom, se reconnaitre le droit de dire, de faire, le droit d’être.
Grâce à un travail sur nous-même, à une meilleure compréhension de nous et surtout une meilleure appréhension de nous, nous allons pouvoir prendre conscience de la valeur que nous portons à notre environnement et à nous-même.
Ce sentiment de légitimité se construit au travers de la qualité de nos attachements, eux-mêmes en évolution. Ainsi, en nous comprenant mieux, nous pouvons activer des leviers spécifiques pour dépasser cette problématique.

Comment trouver sa place, sa légitimité?

Il y différents moments dans l’existence où cette question devient sensible, douloureuse ou objets de tensions.
Cette image d’une bonne place est forgée de l’extérieur par des représentations sociales ou familiales. Nous gardons en nous les premières places de notre existence parce qu’elles sont gravées en nous de manière corporelle, elles sont ancrées, inscrites en
nous. C’est aussi l’éveil de la conscience qui se fait dans cet espace d’affects, de joies et de plaisirs premiers.
La reconnaissance joue un rôle fondamental dans notre équilibre: c’est elle qui nous confirme notre valeur, l’appartenance et l’intégration au groupe social, qui solidifie l’estime de soi puis la confiance en soi. Le message que nous percevons lorsque nous recevons des signes de reconnaissance, c’est que nous existons, que nous sommes dignes d’intérêt, que nous faisons partie d’un groupe et que notre ego est suffisamment nourri. La place qu’on s’attribue à soi-même prend alors toute son importance. Trouver sa place, c’est aussi s’habituer physiquement, s’acclimater, ajuster son corps à d’autres lieux, d’autres manières d’être.
Se sentir à sa place, c’est sans doute s’engager dans une activité qui nous parait essentielle. C’est autour de celle-ci que les autres activités s’organisent. Il faut réussir à concilier cette place, qui est notre « vrai lieu » avec les autres places sociales et affectives que l’on occupe. C’est se donner la possibilité de créer un espace mental structurant et permanent.

Etre à sa place, c’est plus qu’une position sociale: c’est explorer notre singularité, notre insertion, notre authenticité. C’est rechercher ce moment où l’on se dit « je suis bien »; moment qui peut tenir à un lieu, une activité, une personne mais qui a tout à voir avec une manière d’être, un « sentiment de soi ».

Si tu veux approfondir le sujet, je te conseille vivement le livre de Claire Marin, philosophe et écrivaine « Etre à sa place », un régal !

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Laurence Delaizir Coaching

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