« Faire famille – Une philosophie des liens » de Sophie Galabru

Faire famille - Une philosophie des liens - 1

« Faire famille » de Sophie Galabru : Pourquoi nous ne devons pas tout à nos parents

Dans Faire famille, Sophie Galabru plonge au cœur des dynamiques familiales contemporaines, questionnant notamment le rôle de l’héritage parental et la manière dont il influence notre vie. Elle explore comment nous nous construisons au sein de la famille tout en mettant en lumière une idée essentielle : nous ne devons pas tout à nos parents. Cet ouvrage est un puissant rappel que si nos parents jouent un rôle clé dans notre parcours, nous sommes également les seuls maîtres de notre destinée. En développement personnel, cette distinction est cruciale pour grandir, s’affirmer et se libérer de certains fardeaux.

La gratitude envers nos parents, mais pas la dette

Sophie Galabru aborde avec sensibilité la question de la dette morale que l’on pourrait ressentir vis-à-vis de nos parents. Oui, ils nous ont donné la vie, ils nous ont éduqués et ont façonné une partie de notre identité. Mais Faire famille nous montre qu’il est essentiel de ne pas confondre gratitude et obligation. Galabru insiste sur le fait que bien que nos parents aient eu un impact majeur sur qui nous sommes aujourd’hui, nous ne leur devons pas toute notre existence ni nos choix futurs.

Dans le cadre du développement personnel, cette idée est libératrice. Trop souvent, nous portons le poids de vouloir satisfaire nos parents, de leur rendre quelque chose ou de répondre à leurs attentes, même si elles ne correspondent pas à nos propres désirs. Galabru déculpabilise en expliquant qu’il est normal, et même sain, de prendre du recul, de créer son propre chemin et de ne pas être prisonnier des attentes familiales.

Se libérer des attentes familiales pour s’épanouir

Un des enseignements clés de Faire famille est de comprendre que la famille, bien que fondatrice, ne doit pas définir tout ce que nous sommes. Galabru aborde des témoignages de personnes qui ont longtemps vécu dans l’ombre des attentes parentales, cherchant à se conformer à des modèles qui ne leur correspondaient pas. Cela peut être le désir de suivre une carrière que nos parents jugent « stable », d’adopter un mode de vie en adéquation avec leurs valeurs, ou encore d’avoir une vision traditionnelle de la famille.

Elle montre que pour s’épanouir pleinement, il est crucial de savoir se détacher de ces injonctions, de prendre du recul et de s’autoriser à dévier du chemin tracé par nos parents. Ce n’est pas un acte d’égoïsme, mais plutôt une preuve de maturité et de respect pour soi-même. Le développement personnel passe par cette étape où l’on s’affranchit des attentes extérieures pour mieux se connecter à ses propres aspirations.

L’influence parentale n’est pas un destin

Dans Faire famille, Galabru soulève aussi la question de l’influence parentale sur nos croyances et nos comportements. Nos parents, bien qu’animés des meilleures intentions, peuvent parfois nous transmettre des schémas limitants ou des croyances erronées, souvent issus de leur propre vécu. Elle montre que ce n’est pas parce qu’un comportement ou une croyance nous a été transmis que nous devons la perpétuer à tout prix.

Le livre invite à faire un travail d’introspection pour identifier les croyances héritées qui ne nous servent plus. Par exemple, un parent peut avoir inculqué l’idée qu’une certaine stabilité financière est la seule voie vers le bonheur, ou que la réussite personnelle passe forcément par un chemin académique bien défini. Galabru encourage chacun à remettre en question ces messages, à filtrer ce qui est utile et à se débarrasser de ce qui ne l’est pas, afin de créer ses propres valeurs et ses propres croyances.

L’autonomie émotionnelle : un enjeu clé du développement personnel

Un autre aspect central du livre est l’autonomie émotionnelle. Sophie Galabru met en lumière combien il est important d’apprendre à ne pas dépendre émotionnellement de l’approbation de nos parents. Cela peut être un processus difficile, car beaucoup d’entre nous cherchent instinctivement leur validation ou leur affection à travers la reconnaissance parentale.

Cependant, pour grandir et s’épanouir, il est crucial de comprendre que nous sommes responsables de notre propre bonheur. Galabru nous rappelle que nos parents ont leur propre parcours, leurs propres blessures et leurs propres rêves, mais il ne tient qu’à nous de construire notre vie en fonction de nos propres besoins, et non des leurs.

Reconnaître, honorer, mais tracer son propre chemin

L’une des forces de Faire famille est de nous faire comprendre que la gratitude envers nos parents peut coexister avec le besoin de liberté individuelle. L’idée que nous devons tout à nos parents est souvent un frein à notre épanouissement. Galabru nous encourage à reconnaître les efforts de nos parents, à leur être reconnaissants pour ce qu’ils nous ont apporté, mais à ne pas nous sentir redevables au point de sacrifier nos propres désirs et ambitions.

Elle nous invite à honorer nos racines tout en construisant un avenir qui nous appartient pleinement. La famille est un point de départ, pas une destination. En prenant conscience de cela, nous pouvons nous libérer de certaines attentes, apprendre à mieux nous connaître, et tracer un chemin qui nous ressemble vraiment.

En conclusion : grandir au-delà de l’héritage parental

Faire famille de Sophie Galabru nous rappelle que si nos parents ont contribué à façonner une partie de notre identité, nous ne leur devons pas tout. En tant qu’adultes, nous avons le droit – et même le devoir envers nous-mêmes – de créer notre propre vie, libérée des injonctions familiales. Ce livre est un guide précieux pour quiconque cherche à mieux comprendre ses dynamiques familiales et à trouver la juste place entre reconnaissance et indépendance. Dans le cadre du développement personnel, se libérer de l’idée que l’on doit tout à ses parents est un pas crucial vers une vie plus authentique et épanouie.

« Faire famille – Une philosophie des liens » de Sophie Galabru

Qu’est-ce que le coaching?

Le coaching de vie / coaching professionnel est l’accompagnement professionnalisé d’une personne dans l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation de son projet de vie et/ou professionnel.
Concrètement, il consiste en des rendez-vous (généralement 1H15 tous les 15 jours) durant lesquels nous aborderons ensemble un travail sur des objectifs préalablement définis lors d’un entretien. Il peut s’agir de confiance en soi, de résilience, d’un
changement personnel ou professionnel ou bien d’autres sujets liés à l’atteinte d’un mieux-être.
Chaque coaching est unique, il donne lieu à un contrat bipartite précisant les axes de travail et objectifs à atteindre et comporte un entretien de démarrage et de bilan final.

A qui s’adresse-t-il?

Le coaching est un outil puissant pour ceux qui cherchent à évoluer, à progresser personnellement ou à se reconvertir dans un environnement professionnel en perpétuelle évolution.
Il permet de :
Clarifier ses objectifs : Comprendre ce que l’on veut réellement atteindre.
Surmonter les obstacles : Identifier et éliminer les blocages qui freinent la progression.
Développer son potentiel : Utiliser ses compétences et ses ressources de manière optimale.
Avoir un regard extérieur : Profiter d’un soutien impartial et objectif pour prendre les bonnes décisions.

Comment travaille un coach personnel?

Il est centré sur son client sans interférence de l’extérieur,
Il « ne sait pas » à la place de son client,
Il « ne veut rien » pour son client,
Il sait qu’il n’existe pas de « meilleur projet de vie »,
Il sait que son client est le meilleur expert de sa propre vie,
Il se place dans une écoute totale (de son client, de lui-même, des « ce qui se passe/dit » dans la relation).

Différence entre coaching personnel et psychothérapie:

Le coaching est ancré dans le présent, orienté vers le futur. Il repose sur un contrat, une définition d’objectifs et une durée limitée. Il n’a pas pour vocation ni de soigner une souffrance ni de réparer le passé.
Il a pour mission de permettre au coaché de trouver en lui ses ressources (options, choix, moyens, réponses) à la réalisation de son projet.

Pourquoi le coaching fonctionne?

L’un des bénéfices du coaching est qu’il t’accompagne dans la définition de tes objectifs et te permet d’appréhender plus clairement ton projet.
Etablir un plan d’action réalisable permet de faire le tri dans tes priorités et de mettre en place des moyens concrets d’atteindre ton but.
Le coaching t’aide à comprendre ta situation personnelle et professionnelle dans le but d’entamer une dynamique de changement et de développement.
Dans ce cadre, tu vas trouver sécurité et liberté pour accéder à d’autres angles de vues, envisager de nouvelles perspectives, t’autoriser à ouvrir ton champ de vision pour te donner les moyens d’agir.

« Faire famille – Une philosophie des liens » de Sophie Galabru

Faire famille - Une philosophie des liens - 1

« Faire famille » de Sophie Galabru : Pourquoi nous ne devons pas tout à nos parents

Dans Faire famille, Sophie Galabru plonge au cœur des dynamiques familiales contemporaines, questionnant notamment le rôle de l’héritage parental et la manière dont il influence notre vie. Elle explore comment nous nous construisons au sein de la famille tout en mettant en lumière une idée essentielle : nous ne devons pas tout à nos parents. Cet ouvrage est un puissant rappel que si nos parents jouent un rôle clé dans notre parcours, nous sommes également les seuls maîtres de notre destinée. En développement personnel, cette distinction est cruciale pour grandir, s’affirmer et se libérer de certains fardeaux.

La gratitude envers nos parents, mais pas la dette

Sophie Galabru aborde avec sensibilité la question de la dette morale que l’on pourrait ressentir vis-à-vis de nos parents. Oui, ils nous ont donné la vie, ils nous ont éduqués et ont façonné une partie de notre identité. Mais Faire famille nous montre qu’il est essentiel de ne pas confondre gratitude et obligation. Galabru insiste sur le fait que bien que nos parents aient eu un impact majeur sur qui nous sommes aujourd’hui, nous ne leur devons pas toute notre existence ni nos choix futurs.

Dans le cadre du développement personnel, cette idée est libératrice. Trop souvent, nous portons le poids de vouloir satisfaire nos parents, de leur rendre quelque chose ou de répondre à leurs attentes, même si elles ne correspondent pas à nos propres désirs. Galabru déculpabilise en expliquant qu’il est normal, et même sain, de prendre du recul, de créer son propre chemin et de ne pas être prisonnier des attentes familiales.

Se libérer des attentes familiales pour s’épanouir

Un des enseignements clés de Faire famille est de comprendre que la famille, bien que fondatrice, ne doit pas définir tout ce que nous sommes. Galabru aborde des témoignages de personnes qui ont longtemps vécu dans l’ombre des attentes parentales, cherchant à se conformer à des modèles qui ne leur correspondaient pas. Cela peut être le désir de suivre une carrière que nos parents jugent « stable », d’adopter un mode de vie en adéquation avec leurs valeurs, ou encore d’avoir une vision traditionnelle de la famille.

Elle montre que pour s’épanouir pleinement, il est crucial de savoir se détacher de ces injonctions, de prendre du recul et de s’autoriser à dévier du chemin tracé par nos parents. Ce n’est pas un acte d’égoïsme, mais plutôt une preuve de maturité et de respect pour soi-même. Le développement personnel passe par cette étape où l’on s’affranchit des attentes extérieures pour mieux se connecter à ses propres aspirations.

L’influence parentale n’est pas un destin

Dans Faire famille, Galabru soulève aussi la question de l’influence parentale sur nos croyances et nos comportements. Nos parents, bien qu’animés des meilleures intentions, peuvent parfois nous transmettre des schémas limitants ou des croyances erronées, souvent issus de leur propre vécu. Elle montre que ce n’est pas parce qu’un comportement ou une croyance nous a été transmis que nous devons la perpétuer à tout prix.

Le livre invite à faire un travail d’introspection pour identifier les croyances héritées qui ne nous servent plus. Par exemple, un parent peut avoir inculqué l’idée qu’une certaine stabilité financière est la seule voie vers le bonheur, ou que la réussite personnelle passe forcément par un chemin académique bien défini. Galabru encourage chacun à remettre en question ces messages, à filtrer ce qui est utile et à se débarrasser de ce qui ne l’est pas, afin de créer ses propres valeurs et ses propres croyances.

L’autonomie émotionnelle : un enjeu clé du développement personnel

Un autre aspect central du livre est l’autonomie émotionnelle. Sophie Galabru met en lumière combien il est important d’apprendre à ne pas dépendre émotionnellement de l’approbation de nos parents. Cela peut être un processus difficile, car beaucoup d’entre nous cherchent instinctivement leur validation ou leur affection à travers la reconnaissance parentale.

Cependant, pour grandir et s’épanouir, il est crucial de comprendre que nous sommes responsables de notre propre bonheur. Galabru nous rappelle que nos parents ont leur propre parcours, leurs propres blessures et leurs propres rêves, mais il ne tient qu’à nous de construire notre vie en fonction de nos propres besoins, et non des leurs.

Reconnaître, honorer, mais tracer son propre chemin

L’une des forces de Faire famille est de nous faire comprendre que la gratitude envers nos parents peut coexister avec le besoin de liberté individuelle. L’idée que nous devons tout à nos parents est souvent un frein à notre épanouissement. Galabru nous encourage à reconnaître les efforts de nos parents, à leur être reconnaissants pour ce qu’ils nous ont apporté, mais à ne pas nous sentir redevables au point de sacrifier nos propres désirs et ambitions.

Elle nous invite à honorer nos racines tout en construisant un avenir qui nous appartient pleinement. La famille est un point de départ, pas une destination. En prenant conscience de cela, nous pouvons nous libérer de certaines attentes, apprendre à mieux nous connaître, et tracer un chemin qui nous ressemble vraiment.

En conclusion : grandir au-delà de l’héritage parental

Faire famille de Sophie Galabru nous rappelle que si nos parents ont contribué à façonner une partie de notre identité, nous ne leur devons pas tout. En tant qu’adultes, nous avons le droit – et même le devoir envers nous-mêmes – de créer notre propre vie, libérée des injonctions familiales. Ce livre est un guide précieux pour quiconque cherche à mieux comprendre ses dynamiques familiales et à trouver la juste place entre reconnaissance et indépendance. Dans le cadre du développement personnel, se libérer de l’idée que l’on doit tout à ses parents est un pas crucial vers une vie plus authentique et épanouie.

« Faire famille – Une philosophie des liens » de Sophie Galabru

Qu’est-ce que le coaching?

Le coaching de vie / coaching professionnel est l’accompagnement professionnalisé d’une personne dans l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation de son projet de vie et/ou professionnel.
Concrètement, il consiste en des rendez-vous (généralement 1H15 tous les 15 jours) durant lesquels nous aborderons ensemble un travail sur des objectifs préalablement définis lors d’un entretien. Il peut s’agir de confiance en soi, de résilience, d’un
changement personnel ou professionnel ou bien d’autres sujets liés à l’atteinte d’un mieux-être.
Chaque coaching est unique, il donne lieu à un contrat bipartite précisant les axes de travail et objectifs à atteindre et comporte un entretien de démarrage et de bilan final.

A qui s’adresse-t-il?

Le coaching est un outil puissant pour ceux qui cherchent à évoluer, à progresser personnellement ou à se reconvertir dans un environnement professionnel en perpétuelle évolution.
Il permet de :
Clarifier ses objectifs : Comprendre ce que l’on veut réellement atteindre.
Surmonter les obstacles : Identifier et éliminer les blocages qui freinent la progression.
Développer son potentiel : Utiliser ses compétences et ses ressources de manière optimale.
Avoir un regard extérieur : Profiter d’un soutien impartial et objectif pour prendre les bonnes décisions.

Comment travaille un coach personnel?

Il est centré sur son client sans interférence de l’extérieur,
Il « ne sait pas » à la place de son client,
Il « ne veut rien » pour son client,
Il sait qu’il n’existe pas de « meilleur projet de vie »,
Il sait que son client est le meilleur expert de sa propre vie,
Il se place dans une écoute totale (de son client, de lui-même, des « ce qui se passe/dit » dans la relation).

Différence entre coaching personnel et psychothérapie:

Le coaching est ancré dans le présent, orienté vers le futur. Il repose sur un contrat, une définition d’objectifs et une durée limitée. Il n’a pas pour vocation ni de soigner une souffrance ni de réparer le passé.
Il a pour mission de permettre au coaché de trouver en lui ses ressources (options, choix, moyens, réponses) à la réalisation de son projet.

Pourquoi le coaching fonctionne?

L’un des bénéfices du coaching est qu’il t’accompagne dans la définition de tes objectifs et te permet d’appréhender plus clairement ton projet.
Etablir un plan d’action réalisable permet de faire le tri dans tes priorités et de mettre en place des moyens concrets d’atteindre ton but.
Le coaching t’aide à comprendre ta situation personnelle et professionnelle dans le but d’entamer une dynamique de changement et de développement.
Dans ce cadre, tu vas trouver sécurité et liberté pour accéder à d’autres angles de vues, envisager de nouvelles perspectives, t’autoriser à ouvrir ton champ de vision pour te donner les moyens d’agir.

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Laurence Delaizir Coaching

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