Le syndrome de l’imposteur

Une chose qui compte dans la vie, ce n’est pas qui on est ou ce qu’on fait, mais si
on est heureux ou non.
Romain Gary

Le sentiment d’illégitimité pousse à se dévaloriser, fait douter de ses compétences, empêche de s’attribuer des succès. Avec lui, on se sent un imposteur qui ne mérite pas la place qu’il occupe.

De nombreuses personnes souffrent , aujourd’hui du sentiment de ne pas être légitime dans leurs accomplissements personnels ou professionnels.

Le syndrome de l’imposteur est un ressenti ou la conviction de ne pas être à la hauteur malgré tous les signes objectifs qui pourraient prouver le contraire. Celui qui l’exprime attribue des facteurs externes à sa réussite tels que la chance ou le hasard. Cette personne a une peur réelle d’être démasquée alors que tout prouve au contraire qu’elle n’est pas un imposteur.

Plus courant qu’on ne le pense, ce syndrome de l’imposteur peut nuire de façon importante à l’épanouissement professionnel des personnes qui en souffrent.

Selon Kevin Chassange, docteur en psychologie et auteur du livre « Le syndrome de l’imposteur », 20% de la population est concerné par ce syndrome. Et 70% auraient déjà été touchés au moins une fois dans leur vie. Ce syndrome touche autant les hommes que les femmes. Ce syndrome de l’imposteur n’est une maladie mais un obstacle à son propre potentiel.
Le syndrome de l’imposteur apparaît en particulier lors des périodes de transition:
quand on se qualifie pour la première fois dans son domaine de compétence (premier diplôme, premier poste…), quand on démarre un nouveau cursus ou un nouveau cycle d’études, quand on obtient une promotion importante.

Loin de se limiter au monde du travail, le syndrome de l’imposteur concernerait aussi la vie familiale, chez des parents qui sous-estiment leur aptitude à s’occuper de leurs enfants ou dans le couple lorsque l’autre renvoie une image de soi jugée trop valorisante par rapport à celle que l’on a par exemple.
Ce syndrome peut bien se vivre en fonction de son intensité. Plus il est intense et fréquent, plus les répercussions sont handicapantes sur le bien-être ou l’expression de son potentiel.

Dans le quotidien, ce syndrome peut entrainer une symptomatologie dépressive ou anxieuse, une difficulté à prioriser les tâches, à demander de l’aide, à ne pas oser prendre certains risques, à recevoir les compliments ou à s’attribuer ses réussites. Ces personnes peuvent être dans une « sur préparation » ou à l’inverse, elles peuvent procrastiner, se mettre en échec volontairement.

Aujourd’hui, ce syndrome est communément reconnu. Plus ou moins longue, cette expérience d’imposture se résout souvent par soi-même, en apprenant à s’apprécier sans condition, en se montrant moins perfectionniste et plus indulgent avec ses erreurs.

Le malaise peut aussi se dissiper en parlant avec son entourage, qui joue un rôle essentiel pour rassurer sa propre valeur, et quand ce n’est pas suffisant, avec un professionnel.

Le syndrome de l’imposteur

Une chose qui compte dans la vie, ce n’est pas qui on est ou ce qu’on fait, mais si
on est heureux ou non.
Romain Gary

Le sentiment d’illégitimité pousse à se dévaloriser, fait douter de ses compétences, empêche de s’attribuer des succès. Avec lui, on se sent un imposteur qui ne mérite pas la place qu’il occupe.

De nombreuses personnes souffrent , aujourd’hui du sentiment de ne pas être légitime dans leurs accomplissements personnels ou professionnels.

Le syndrome de l’imposteur est un ressenti ou la conviction de ne pas être à la hauteur malgré tous les signes objectifs qui pourraient prouver le contraire. Celui qui l’exprime attribue des facteurs externes à sa réussite tels que la chance ou le hasard. Cette personne a une peur réelle d’être démasquée alors que tout prouve au contraire qu’elle n’est pas un imposteur.

Plus courant qu’on ne le pense, ce syndrome de l’imposteur peut nuire de façon importante à l’épanouissement professionnel des personnes qui en souffrent.

Selon Kevin Chassange, docteur en psychologie et auteur du livre « Le syndrome de l’imposteur », 20% de la population est concerné par ce syndrome. Et 70% auraient déjà été touchés au moins une fois dans leur vie. Ce syndrome touche autant les hommes que les femmes. Ce syndrome de l’imposteur n’est une maladie mais un obstacle à son propre potentiel.
Le syndrome de l’imposteur apparaît en particulier lors des périodes de transition:
quand on se qualifie pour la première fois dans son domaine de compétence (premier diplôme, premier poste…), quand on démarre un nouveau cursus ou un nouveau cycle d’études, quand on obtient une promotion importante.

Loin de se limiter au monde du travail, le syndrome de l’imposteur concernerait aussi la vie familiale, chez des parents qui sous-estiment leur aptitude à s’occuper de leurs enfants ou dans le couple lorsque l’autre renvoie une image de soi jugée trop valorisante par rapport à celle que l’on a par exemple.
Ce syndrome peut bien se vivre en fonction de son intensité. Plus il est intense et fréquent, plus les répercussions sont handicapantes sur le bien-être ou l’expression de son potentiel.

Dans le quotidien, ce syndrome peut entrainer une symptomatologie dépressive ou anxieuse, une difficulté à prioriser les tâches, à demander de l’aide, à ne pas oser prendre certains risques, à recevoir les compliments ou à s’attribuer ses réussites. Ces personnes peuvent être dans une « sur préparation » ou à l’inverse, elles peuvent procrastiner, se mettre en échec volontairement.

Aujourd’hui, ce syndrome est communément reconnu. Plus ou moins longue, cette expérience d’imposture se résout souvent par soi-même, en apprenant à s’apprécier sans condition, en se montrant moins perfectionniste et plus indulgent avec ses erreurs.

Le malaise peut aussi se dissiper en parlant avec son entourage, qui joue un rôle essentiel pour rassurer sa propre valeur, et quand ce n’est pas suffisant, avec un professionnel.

Le syndrome de l’imposteur

Une chose qui compte dans la vie, ce n’est pas qui on est ou ce qu’on fait, mais si
on est heureux ou non.
Romain Gary

Le sentiment d’illégitimité pousse à se dévaloriser, fait douter de ses compétences, empêche de s’attribuer des succès. Avec lui, on se sent un imposteur qui ne mérite pas la place qu’il occupe.

De nombreuses personnes souffrent , aujourd’hui du sentiment de ne pas être légitime dans leurs accomplissements personnels ou professionnels.

Le syndrome de l’imposteur est un ressenti ou la conviction de ne pas être à la hauteur malgré tous les signes objectifs qui pourraient prouver le contraire. Celui qui l’exprime attribue des facteurs externes à sa réussite tels que la chance ou le hasard. Cette personne a une peur réelle d’être démasquée alors que tout prouve au contraire qu’elle n’est pas un imposteur.

Plus courant qu’on ne le pense, ce syndrome de l’imposteur peut nuire de façon importante à l’épanouissement professionnel des personnes qui en souffrent.

Selon Kevin Chassange, docteur en psychologie et auteur du livre « Le syndrome de l’imposteur », 20% de la population est concerné par ce syndrome. Et 70% auraient déjà été touchés au moins une fois dans leur vie. Ce syndrome touche autant les hommes que les femmes. Ce syndrome de l’imposteur n’est une maladie mais un obstacle à son propre potentiel.
Le syndrome de l’imposteur apparaît en particulier lors des périodes de transition:
quand on se qualifie pour la première fois dans son domaine de compétence (premier diplôme, premier poste…), quand on démarre un nouveau cursus ou un nouveau cycle d’études, quand on obtient une promotion importante.

Loin de se limiter au monde du travail, le syndrome de l’imposteur concernerait aussi la vie familiale, chez des parents qui sous-estiment leur aptitude à s’occuper de leurs enfants ou dans le couple lorsque l’autre renvoie une image de soi jugée trop valorisante par rapport à celle que l’on a par exemple.
Ce syndrome peut bien se vivre en fonction de son intensité. Plus il est intense et fréquent, plus les répercussions sont handicapantes sur le bien-être ou l’expression de son potentiel.

Dans le quotidien, ce syndrome peut entrainer une symptomatologie dépressive ou anxieuse, une difficulté à prioriser les tâches, à demander de l’aide, à ne pas oser prendre certains risques, à recevoir les compliments ou à s’attribuer ses réussites. Ces personnes peuvent être dans une « sur préparation » ou à l’inverse, elles peuvent procrastiner, se mettre en échec volontairement.

Aujourd’hui, ce syndrome est communément reconnu. Plus ou moins longue, cette expérience d’imposture se résout souvent par soi-même, en apprenant à s’apprécier sans condition, en se montrant moins perfectionniste et plus indulgent avec ses erreurs.

Le malaise peut aussi se dissiper en parlant avec son entourage, qui joue un rôle essentiel pour rassurer sa propre valeur, et quand ce n’est pas suffisant, avec un professionnel.

Le syndrome de l’imposteur

Une chose qui compte dans la vie, ce n’est pas qui on est ou ce qu’on fait, mais si
on est heureux ou non.
Romain Gary

Le sentiment d’illégitimité pousse à se dévaloriser, fait douter de ses compétences, empêche de s’attribuer des succès. Avec lui, on se sent un imposteur qui ne mérite pas la place qu’il occupe.

De nombreuses personnes souffrent , aujourd’hui du sentiment de ne pas être légitime dans leurs accomplissements personnels ou professionnels.

Le syndrome de l’imposteur est un ressenti ou la conviction de ne pas être à la hauteur malgré tous les signes objectifs qui pourraient prouver le contraire. Celui qui l’exprime attribue des facteurs externes à sa réussite tels que la chance ou le hasard. Cette personne a une peur réelle d’être démasquée alors que tout prouve au contraire qu’elle n’est pas un imposteur.

Plus courant qu’on ne le pense, ce syndrome de l’imposteur peut nuire de façon importante à l’épanouissement professionnel des personnes qui en souffrent.

Selon Kevin Chassange, docteur en psychologie et auteur du livre « Le syndrome de l’imposteur », 20% de la population est concerné par ce syndrome. Et 70% auraient déjà été touchés au moins une fois dans leur vie. Ce syndrome touche autant les hommes que les femmes. Ce syndrome de l’imposteur n’est une maladie mais un obstacle à son propre potentiel.
Le syndrome de l’imposteur apparaît en particulier lors des périodes de transition:
quand on se qualifie pour la première fois dans son domaine de compétence (premier diplôme, premier poste…), quand on démarre un nouveau cursus ou un nouveau cycle d’études, quand on obtient une promotion importante.

Loin de se limiter au monde du travail, le syndrome de l’imposteur concernerait aussi la vie familiale, chez des parents qui sous-estiment leur aptitude à s’occuper de leurs enfants ou dans le couple lorsque l’autre renvoie une image de soi jugée trop valorisante par rapport à celle que l’on a par exemple.
Ce syndrome peut bien se vivre en fonction de son intensité. Plus il est intense et fréquent, plus les répercussions sont handicapantes sur le bien-être ou l’expression de son potentiel.

Dans le quotidien, ce syndrome peut entrainer une symptomatologie dépressive ou anxieuse, une difficulté à prioriser les tâches, à demander de l’aide, à ne pas oser prendre certains risques, à recevoir les compliments ou à s’attribuer ses réussites. Ces personnes peuvent être dans une « sur préparation » ou à l’inverse, elles peuvent procrastiner, se mettre en échec volontairement.

Aujourd’hui, ce syndrome est communément reconnu. Plus ou moins longue, cette expérience d’imposture se résout souvent par soi-même, en apprenant à s’apprécier sans condition, en se montrant moins perfectionniste et plus indulgent avec ses erreurs.

Le malaise peut aussi se dissiper en parlant avec son entourage, qui joue un rôle essentiel pour rassurer sa propre valeur, et quand ce n’est pas suffisant, avec un professionnel.

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Laurence Delaizir Coaching

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